Au milieu des années
1820, Balzac renonce à la littérature commerciale
mais ne parvient pas à vivre de sa plume et se lance
dans les affaires.
Devenu homme du livre, il
touchera à tous les métiers liés à
la production de ce dernier: d'abord éditeur,
puis imprimeur, et enfin fondeur
de caractères typographiques.
Son activité périclite
toutefois et ruiné, l'homme
de lettres se remet à l'écriture. Il s'inspirera
de son passé d'entrepreneur d'imprimerie pour nourrir
son inspiration: Illusions perdues
est ainsi l'enfant de cette expérience originale.

L'art de ne jamais déjeuner chez soi,
Imprimerie Balzac, 1827