Le passif de
l'imprimerie-fonderie dépassant l'actif, Berbier,
l'associé de Balzac, l'abandonne et est remplacé
dans l'entreprise par Mme de Berny.
Le 16 avril 1828,
Balzac perd tout droit sur la fonderie. Le 12 août
suivant, il est obligé de liquider l'imprimerie.
Il doit près de 90.000 francs de l'époque
(2 à 3 millions de nos francs), 45000 F à
sa mère et 45000 F à Mme de Berny.
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9250 F - édition
du Molière
5061 F - édition du La
Fontaine
30000 F - imprimeur Laurens
12000 F - prote Barbier
15000 F - achat matériel
75061 F
+ 18000 F - fonderie
89061 F |